L'armée d'Alakeï l'avait rejoint sur Korriban très rapidement. Ils avaient quasiment tous répondu à l'appel : Gangs, mercenaires, Mandaloriens, Sith, Wookies, et même des Voss. Peut-être qu'Alakeï les envoyait à la mort... Mais cela lui importait peu, tant qu'il parvenait à tuer ce chien, cet ordure de Davarion, quelque soit le nombre de perte. Alakeï avait élaborer un plan. Il avait fait rentrer toute son armée dans le tombeau de Tulak Hord, endroit parfait pour piéger le Darth, qui s'y aventurait peu, et avait donc peu d'experiences de ce terrain. Maintenant qu'ils étaient placés, ils n'attendaient plus qu'Arkhaâl. Pour lui, le plan était simple... Du moins, plus facile à dire qu'à faire. Le jeune Acolyte devait voler le sabre laser de Darth Davarion lorsqu'il serait suffisament proche du tombeau, faire en sorte qu'il le remarque une fois s'être suffisament éloigné, et l'attirer jusqu'ici, où il se ferait mitraillé. Il y avait énormément de risques dans ce plan, et dix milles éléments qui pourraient faire échouer la mission d'Arkhaâl, mais il fallait que cela réussisse. C'était la meilleure occasion d'Alakeï de vaincre son ancien Maître, sans même avoir à lever le petit doigt.
Tous le monde était extrèmement silencieux. On entendait dans ce tombeau que les limaces ramper sur le sol. Soudain, des bruits de pas rapides se firent entendre.
Arkhaâl arrivait. Le plan fonctionnait, par miracle, comme prévu... Jusqu'à ce que les mots suivants soient prononcés :
"Ne tirez pas ! Ne tirez pas !" Cria Alakeï, caché derrière un mur.
Alakeï fit signe à ses soldats de baisser leurs armes.
"C'est bon, on ne va pas tirer, tu peux te montrer."
Arkhaâl sortit de sa cachette, à une douzaine de mêtres, les mains en l'air, tout tremblotant.
"C'est bon Ark, baisse tes mains, on a dit qu'on tirait pas !"
Une voix grave et obscure résonna alors dans tous le tombeau :
"Cela faisait longtemps que je n'avais pas entendu cette voix..."
Alakeï sentit un frisson lui parcourir l'échinne. Le tombeau sembla soudainement plus sombre, plus froid. Soudain, tous les hommes derrière lui tombèrent sur le sol, inconscients. Derrière Arkhaâl, Darth Davarion sortit de la pénombre.
"...Mais à l'époque, tu semblais bien plus agressif. Peut-être... Que quelqu'un t'a attendrit ?"
À ce moment là, il fit sortir quelque chose de la pénombre... Non quelqu'un... Et là, Alakeï réalisa avec horreur qu'il n'avait jamais été le chasseur, mais bel et bien le gibier depuis le début. Et il venait de tomber dans le piège.
De la pénombre, sortit Lira. Darth Davarion alluma son sabre laser, qu'il placa devant sa gorge.
"Tu n'aurais jamais dû me défier Alakeï, je suis devenu bien plus puissant qu'auparavant, tout comme tu n'aurais jamais dû faire évader ta femme il y a dix ans. Te rends-tu seulement compte que si tu ne l'avais pas fait, elle serait encore vivante ?"
Il regarda Lira. Elle était toute pâle, la peau sur les os, en sanglotant silencieusement.
"Ses maîtres l'avaient emmené sur Aldérande, pour la présenter à un grand Maître Jedi... Du moins c'est ce qu'elle m'a dit, je n'ai vu que des insectes en les tuant."
Il fit ce sourire carnassier qu'Alakeï connaissait bien, puisqu'il avait le même lors du meurtre de ses parents.
"Notamment la mère de Felizia... Si tu veux mon avis, elle aurait mieux fait de prendre sa retraite, on aurait presque dit qu'elle se laissait faire... Mais peut-être pourrons nous éviter le massacre cette fois-ci ?"
Sa lame s'éteignit. Il fit signe à Lira de rejoindre son père. Elle sembla hésitante.
"Vas-y."
Lira s'avança donc à pas lents et hésitants vers son père. Plus elle s'approchait de lui, plus elle semblait vouloir sourire. Soudain, Alakeï se sentit extremement faible, et sa vision devint floue. Il entendit des murmures dans son esprits, et lorsque ces murmures s'arrêtèrent, il ne contrôllait plus son corps. Il était relayer au rang de spectateur. Comprenant que Davarion s'insinuait dans son esprit, il tenta de crier, d'hurler à sa fille de reculer, de s'enfuir. Mais il se vit tendre ses bras vers elle. Elle arriva tout près de lui, et la serra dans ses bras. Puis il regarda son visage, et commença à le caresser.
Avant de resserer ses mains autour de son crâne et de le broyer.
Alakeï tenta d'hurler, mais rien ne sortit de sa bouche.
Il se voyait maintenant planter ses dents dans le corps mutilé de la petite fille, et de lui arracher diverses membres...
Alakeï voulut hurler.
Il se voyait désormais à genoux, entrain planter ses mains dans le ventre inerte de Lira, en en ressortant ses différents organes...
Alakeï hurla.
Il sentit Darth Davarion être expulsé de son corps, tandis qu'il hurlait sans s'arrêter, qu'il hurlait de toutes ses forces, recouvert du sang et des boyaux de sa fille.
Soudain, il se jeta au sol, tenta d'enlever ce qu'il avait de sa fille sur lui, en gémissant bruyament. Puis il se traina dans l'immense marre de sang jusqu'aux restes de Lira. Il n'y avait plus aucune forme, plus aucun visage...
Tout était détruit. Alakeï éclata en sanglots.
Il sentit la présence de Davarion, derrière lui, mais n'en avait rien à faire.
"Bien... C'est très bien. Ta colère te rends plus puissant. Utilise la pour te rendre plus fort."
Il ne croyait pas si bien dire. Alakeï sentit la colère, la haine, la rage monter en lui. C'était de trop. Maintenant, il allait falloir en finir.
Chapitre XII:
Chapitre XII L'Affrontement
Tant de haine... Tant de violence... Tant d'envie de vengeance... Envers Davarion bien sûr, mais aussi envers les Jedi, qui furent incapables de protéger sa fille. Envers l'ensemble des Sith, ces monstres incapables de faire confiance l'un à l'autre. Et envers la République, envers l'Empire, envers les hommes, envers les femmes, envers la guerre, envers la paix, envers toute la Galaxie. Et surtout envers sa chienne de vie, qui ne semblait aboutir qu'au malheur et au chaos...
Le Chaos...Exactement ça... Il allait montré à l'Univers tout entier ce que c'était que le Chaos que toute sa vie durant, il avait subit et ressentit. Désormais, il serait une furie, un monstre ravageant tout sur son passage, le dragon qui mettrait les peuples et les rois à genoux par le simple biais de ses idées et de sa folie meurtrière. Car maintenant qu'il n'avait plus personnes, plus rien à perdre, il n'avait plus rien pour le retenir. Il détruirait le monde, comme le monde l'avait détruit lui. Il trahirait la Force, comme la Force l'avait trahit.
Et cela commencerait aujourd'hui.
Derrière lui, Darth Davarion lui tendait sa main.
"Tu as montré ce dont tu étais capable en laissant tes émotions te guider. Je suis prêt à te pardonner, si tu me rejoins à nouveau."
Alakeï bouyonnait. Comment cette ordure pouvait-elle oser dire cela, après avoir fait ça ? Le Seigneur Sith se releva lentement, puis se placa face à Davarion, la tête haute, le regardant droit les yeux, sans cligner une seule fois. Tout deux se fixaient, sans faire un seul mouvement. Soudain, d'un même réflex, ils sortirent leurs sabres laser, qu'ils allumèrent en même temps. Les deux lames vinrent se croiser.
"Alors, ton choix est fait... Bien."
Le combat était engagé.
"Que le meilleur gagne alors"
Le Darth commença un enchainement de coups agressifs visant le ventre, mais qu'Alakeï n'eut aucun mal à parer. Il riposta alors en envoyant de violents coups vers les côtes de son adversaire, mais qu'il parat également avec facilité. Le Seigneur Sith envoya alors une poussée de Force qui propulsa Davarion à l'autre bout de la salle, ce qui le sonna durant quelques secondes. Alakeï aurait normalement profité de cette faiblesse en lui sautant dessus, mais son attention fut captée par les quelques soldats qui, derrière lui, commençaient à se relever. Mais déjà Davarion faisait un saut de Force dans sa direction, prêt à abbattre sa lame. Alakeï esquiva son coup et vint le frapper de son pied dans les côtes. Davarion prit le coup mais ne s'interrompit pas dans son combat. Il continua d'attaquer de façon régulière, tandis que les soldats derrière se redressaient tant bien que mal. Alakeï comprit que c'était Davarion qui les maintenaient dans l'inconscience grâce à la Force, ce qui devait lui demander beaucoup d'effort. Si Alakeï était suffisament agressif, le Darth perdrait le contrôle et les soldats pourraient venir en renfort. Et cela marcha. À chacun de ses coups, le Rattataki devenait un peu plus violent. Derrière, les soldats ressaisissaient leurs armes et se mettaient à tirer sur Davarion, qui dût se replier vers l'entrée du tombeau. Là, il appela la garde à son aide, et plusieurs soldats Impériaux et Sith arrivèrent, pour se plonger dans le combat ! Et tandis que la bataille faisaient rage autour d'eux, les deux Sith s'affrontaient dans un duel d'une extrème violence et d'une grande rapidité. Aucun des deux ne faisaient même plus de feinte, ils n'utilisaient même plus la Force, c'était du grand combat barbare, complêment acharné, chacun étant animé par l'envie terrible de terrasser l'autre.
Soudain, sortant de nulle part, Arkhaâl vint porter un coup de vibrolame dans le dos de Davarion qui, surprit, se retourna vers lui en lui envoyant une salve d'éclairs, qui le propulsèrent quelques mêtres plus loin. Mais cet instant lui fit perdre l'avantage.
Alakeï profita de l'intervention d'Ark et s'acharna sur Davarion, avant de le propulser sur les escaliers de l'Académie. Il ne lui laissa alors même pas le temps de se relever, et fit un saut de Force en sa direction pour lui porter le coup fatale.
Le combat tout autour se stoppa. Arkhaâl se releva tant bien que mal, et se rapprocha aussi vite qu'il pût.
Sur le grand escaliers, sous les yeux de chaque Sith, chaque soldat, chaque Acolyte, le Seigneur Alakeï traina le corps d'une main jusqu'en haut, devant les portes de l'Académie. De l'autre main, il tenait son sabre laser. Il leva alors le corps inerte de Darth Davarion tel un pendu, pour que tous pûrent voir ce qu'il s'apprêtait à faire.
De son autre main, Alakeï vint trancher la tête de son ancien Maître, comme pour rompre son lien à lui. Il leva bien haut la tête de celui qui jadis, le considérait comme son fils. Il hurla alors, de toutes ses forces, comme il avait put le faire avant, recouvert du sang de sa fille, et maintenant de celui de son père adoptif. Puis il balança la tête le plus loin possible.
Et il partit. Personne ne lui barra le passage, tous s'écartaient voir s'inclinaient lorsqu'il passait devant eux.
Il le savait maintenant. Peu importait qui tenterait de s'opposer à lui, peu importait les risques qu'ils prendrait. Il était né pour tuer. Alors il tuerait, quel que soit l'opposition qu'on lui ferait.
Il n'était pas un Sith. Il n'était pas un Jedi. Il n'était pas un Révanite, un Voss, un Sorcier de Dathomir, ou tout type de membre appartenant à une religion basée autour de la Force.
Non, il était devenu le Chaos destructeur, qui l'avait lui même lui détruit. Cette destruction, il la répendra dans la Galaxie entière, il fera découvrir à chaque homme, chaque femme, chaque enfant, la vie qu'a eut Alakeï Dereness.
Les voix... Dans la tête... Elles disent des choses... Oui... Elles disent beaucoup de choses... Tant de peur... Tant de tristesse... Tant de haine. La haine, oui, la haine consumme le monde, comme le feu consumme la branche à l'arbre... Avant de tomber et de s'écraser au sol !
Les gens ont peur... Oui, je dois leur montrer... Je dois leur montrer le monde, COMME IL EST VRAIMENT !"
Alakeï décapita la Twi'lek implorante à genoux devant lui. Il regarda son corps tomber à terre, en éteignant son sabre. Le Zabrak attaché à côté d'elle regarda sa tête rouler sur le sol, et il sanglota de plus belle, en suppliant :
"Pitié, non, ne me tuez pas, je vous en supplie, je ferais ce que vous voudrez, je vous convrirais de crédits si il le faut, mais par pitié, je vous en prie, ne me tuez pas !"
Le Fou s'agenouilla devant lui, l'attrapa par les cheveux et lui colla son sabre éteint dans la bouche. Il le regarda bien droit dans les yeux, en lui faisant un large sourire.
"Tu vois mon petit, le problème avec les sénateurs, c'est qu'en plus d'être de vilains menteurs, ils ont cette facheuse tendance à vouloir me contrarier... Dis moi, tu aime les explosions ?"
Le sénateur, incapable de parler, essaya tant bien que mal de nier de la tête.
"Non ? Dommage... Je t'offrais une place de choix pour mon prochain spectacle !"
Alakeï retira son sabre de sa bouche en se relevant. Il donna alors un grand coup de pied dans le visage du Zabrak qui s'étala sur le sol, sans pouvoir se relever, et tandis que le Fou sortait de la pièce, le sénateur lui cria :
"Vous allez me tuez ?"
Sans stopper sa marche, Alakeï lança :
"Petite nuance, mon cher, je ne vais pas te sauver la vie !"
Il éclata d'un rire aigu semblable à celui d'une hyène en continuant son chemin vers la porte. Il sortit alors dehors et l'immense batisse derrière lui explosa. Sans se retourner, il sortit son holo-communicateur. Tandis que les flammes consummaient les restes de la maison dans son dos, il appela quelqu'un :
"Vous m'entendez ? Ah... Voil...Voilà ! Bonjour jeune homme, c'est bien vous le fils du Sénateur Neofael ? Oh, c'était juste pour vous dire que ses restes brûlent actuellement avec votre maison... Passez le bonjour à votre mère !"
Il balança le holo sur le sol boueux, monta sur sa motojet et s'en alla.
C'était ça, la vie qu'Alakeï, surnommé simplement le Fou, mena pendant six ans. Six années durant lesquelles il erra dans la Galaxie, destablisant l'ordre partout où il allait, par pure folie. Considéré comme un terroriste par de nombreux systèmes, il commit en somme quarante-six attentats, sans jamais se faire prendre. Explosions, assassinats, braquages, cambriolages...
La plupart du temps, ses crimes n'avaient pas le moindre sens. Ils s'attaquaient principalement à des personnes politiquement importantes ou aux grands rassemblements. Il aimait créer la peur, qui poussait les gouvernements à prendre des décisions qui poussaient elles même plus tard les peuples à se révolter.
Tout un enchainement d'évênements destiné à apporter le chaos.
Les gens lui disaient : Pourquoi ? Et il leur répondait : Pour moi ! Avant de leur trancher la gorge.
Et par moments... Il subissait des "blancs". Parfois, soudainement, il était à la fois pris de lassitude, d'ennuis, mais aussi et surtout, de regrets. Durant ces moments, les visages de ceux qu'il tuaient, de ceux qui lui manquait, de ceux qu'il avait aimer, lui revenaient tous à l'esprit.
Et les voix... Les murmures qui résonnent dans sa tête... Était-il hanté ?
Durant ces "blancs", Alakeï se rendait sur Korriban, un monde où il était craint, admiré, parfois vénéré. Et il faisait comme les Sith. Il se mettait en haut de l'escalier, et fixait le tombeau juste en bas. Mais alors que les Sith le faisaient pour se montrer, le Fou lui, le faisait pour se remémorrer cet instant où il avait levé la tête de son ancien Maître, détaché de son corps, avant de la jeter aussi loin qu'il l'eut pût.
Arriva donc un jour, lors de ses quarante-neuf ans, où il monta les escaliers et fixa le tombeau. Mais ce jour là, lorsqu'il se souvint de la bataille contre Davarion, une voix dans sa tête, plus forte que les autres, résonna :
"Je... t'ai... eût..." Alakeï fut paralysé. "Je t'ai eût ?" Il se mit à l'entendre en boucle, de plus en plus fort, d'un ton de plus en plus dur et plus en plus puissant. Et soudain, il entendit un rire froid.
Et il sombra dans l'inconscience.
Lorsqu'il se réveilla, il était allongé, et un homme se tenait penché au dessus de lui.
"Eh beh, vous avez pris des rides mon vieux..."
Alakeï se redressa. Il était sur le sol chaud de Korriban, tout en bas de l'escalier de l'Académie. L'homme à côté avait la chevelure rouge, quelques tatouages sur le visage, et avait toute la machoire inférieure cybernétique. Mais surtout, il portait un grand manteau gris qu'Alakeï ne tarda pas à reconnaître :
"Arkhaâl ?"
"Ouais, moi aussi j'ai pris un coup de vieux, hein ? Allez, levez-vous."
Alakeï se mit donc debout, dévisageant le jeune homme qui l'observait curieusement.
"Tu semble avoir quelque chose à me dire..."
"Euh... Hein ? Euh bah... Oui. Mais..."
Le Fou plongea son regard envoûtant dans celui d'Arkhaâl, qui sembla pris d'envie d'accélerer.
"Ok... Je sais... Enfin j'ai vu, ce que vous avez... hum... vécu et... fait. Et j'ai cru comprendre que vous ne vous considériez ni comme un Sith, ni comme un Jedi... Et je me suis dit que, comme je vous connais un peu, vous voudriez bien rejoindre la Confrérie des Ombres..."
Alakeï manqua d'éclater de rire.
"La quoi ?!"
"Euh... La Confrérie des Ombres... Dont je fais partie. Comme vous, nous ne sommes ni des Sith, ni des Jedi, et par conséquent indépendant de l'Empire ou de la République... On est tous fraternel les uns envers les autres..."
"Désolé petit, les groupes bisounours à papa Ewok m'interressent pas, passe ton chemin."
"Non, non attendez... Ecoutez, je sais ce que vous avait fait ces six dernières années. Je me doute à cause de quoi... Mais je sais aussi que la solitude finira par vous détruire. Vous avez besoin d'un groupe... Les membres de la Confrérie pourraient vous aider et vous pourrez leur faire confiance."
Alakeï qui était entrain de s'éloigna se stoppa net. Il se retourna lentement vers Ark. La confiance. Il ne l'avait accordé qu'à très peu de personne dans sa vie, et seulement une l'avait respecté. Pourtant, Ark et son groupe semblait se présenter comme des personnes loyales et à qui Alakeï pourrait retenter de faire confiance.
"Ecoutez, ce qu'on peut faire, c'est que vous nous rejoignez, vous voyez si ça vous plait, et si c'est pas le cas vous repartirez. Mais ces personnes peuvent vous aider."
Par "aider", Ark entendait soigner la folie d'Alakeï, mais le Fou prit ça comme si on lui proposait des soldats pour faire exploser ses bombes. Et puis dans tous les cas, si il pouvait manipuler tout un groupe pour finalement le mettre à sa botte, autant ne pas refuser. Il hocha donc la tête et déclara :
"Très bien. Je rejoindrais ta confrérie."
Arkhaâl lui fit un large sourire. Il lui fit signe de le suivre, et tout deux partirent pour Yavin-4.
Tandis les même mots résonnaient toujours dans le crâne du Fou :
"Je t'ai eût..."
Dernière édition par Arkhâal le Sam 9 Juil - 16:31, édité 6 fois
Elün
Messages : 20 Date d'inscription : 19/05/2016
Sujet: Re: Alakeï, le Fou [2] (Fin de l'Histoire) Jeu 7 Juil - 12:41
Encore un grand bravo à toi,le travail d'écriture est plus que respectable et ce fût un plaisir de le lire et cela ce lit parfaitement bien ! Mais ! (Relou inc) Je reste sur ma faim vis à vis de la toute fin,qui est prévisible même si le flip avec la fille est bonne la fin reste pour moi trop facile,je pense que tu aurait était capable de trouver un second flip encore plus fou pour mettre fin à ton histoire mais sinon encore un gros gg à toi et au plaisir d'en lire une autre ! :D
Ark'
Messages : 90 Date d'inscription : 17/06/2016 Age : 23 Localisation : Inconnu.
Sujet: Re: Alakeï, le Fou [2] (Fin de l'Histoire) Jeu 7 Juil - 18:52
Merci, ça fait plaisir. Et en fait je suis d'accord avec toi sur la fin, seulement je ne savais pas comment trop comment terminer autrement le Background, puisque Alakeï devait dans tous les cas vaincre son Maître et devenir fou. Peut-être modifierais-je donc un jour la fin, en faisant quelques ajouts qui rajouterait un peu de piments à la scène finale. Mais bon, pour l'instant il faudra se contenter de celle-ci. Cela dit, un épilogue est prévu, il ne devrait pas trop tarder d'ailleurs.
Good RP à toi et merci d'avoir tout lu !
Ark'
Messages : 90 Date d'inscription : 17/06/2016 Age : 23 Localisation : Inconnu.
Sujet: Re: Alakeï, le Fou [2] (Fin de l'Histoire) Sam 9 Juil - 2:00
Epilogue ajouté, pour les plus curieux !
Elün
Messages : 20 Date d'inscription : 19/05/2016
Sujet: Re: Alakeï, le Fou [2] (Fin de l'Histoire) Sam 9 Juil - 12:16
Validé,comme dirait le duc et le sage poète du nom d'Elie Yaffa. 8)
Ark'
Messages : 90 Date d'inscription : 17/06/2016 Age : 23 Localisation : Inconnu.
Sujet: Re: Alakeï, le Fou [2] (Fin de l'Histoire) Sam 9 Juil - 16:33
Désolé, j'arrivais pas à me dire que j'avais terminer, du coup j'ai rajouté la vidéo... x)